Akasuna no Sasori Membre de l'Akatsuki
Nombre de messages : 112 Age : 31 Localisation : Repère de l'Akatsuki Nindô : Parer ma collection des plus talentueux shinobis Date d'inscription : 09/06/2008
Fiche Ninja Rang: Membre de l’Akatsuki Chakra: (650/2000) Ryos: 2000
| Sujet: Bichonne ses marionnettes [PV : Hisae] Sam 14 Juin - 19:27 | |
| Chambre de Sasori, caveau de l'Akatsuki. C'est dans cette antre perdue au fin fond du pays de l'eau ( si mes souvenirs sont bons >.> ) que le jeune marionnettiste habite depuis maintenant près de vingt longues années. Période pendant laquelle il avait consolidé l'art de fabriquer des marionnettes à partir d'être de chair et d'os. Petit à petit, Sasori avait excellé dans cet art plutôt macabre, qui pourtant comportait une multitudes d'avantages aux yeux de l'Akatsukien. Par le biais de cette méthode, il pouvait utiliser les techniques que maîtrisait le shinobi de son vivant. De plus, au cas où l'une de ses précieuses machines de guerre venait à se faire réduire en mille morceaux, le déserteur de Suna possédait une panoplie entière de marionnettes aussi puissantes les unes que les autres. Sans parler de son propre corps, qui, disons-le, ne possédait plus grand chose qui puisse se rapprocher d'une enveloppe charnelle, en bref de quelque chose d'humain ... Il savait pertinemment que s'il ne s'était pas transformé en l'une de ses créatures, il n'aurait jamais pu garder son apparence d'antan, de lorsqu'il avait fui le village en possession de ce qui deviendrait par la suite sa marionnette favorite ... le Sandaime Kazekage, le plus fort de Suna No Kuni, lui appartenait à présent. Il ne l'avait que très peu utilisé depuis sa désertion, la majeure partie du temps pour bâcler un travail confié par le chef de l'Akatsuki. Ainsi, Sasori était parvenu à conquérir, par le biais d'une centaine de marionnettes, tout un pays, et ce au profit bien évidemment de l'Akatsuki. Et le shinobi ne faisait pas les choses à moitié. Lorsqu'il attaquait, les survivants étaient inexistants. Lui seul décidait de laisser un shinobi vivre, ou mourir. Certes, parfois il pouvait en laisser un partir, mais ce genre de chose arrivait peu fréquemment. La plupart du temps, c'était lorsqu'il voyait que son adversaire tenait à la vie qu'il faisait ce difficile effort de ne pas le supprimer. Ce n'était aucunement de la compassion ... plutôt une sorte d'indifférence mélangée à un étrange sentiment de victoire. Car il savait que tôt ou tard, il les rencontrerait à nouveau. Et là, le choix serait décisif.
Passons. Enfermé dans la pièce qui lui servait à la fois de chambre et d'atelier, Sasori était en train de rafistoler un bout de bras d'une de ses marionnettes qui s'était pris un sérieux coup lors de son dernier combat. C'était à présent le dixième pantin qu'il réparait, et améliorait. Il avait notamment prévu d'intégrer à plusieurs de ses instruments toute une panoplies d'armes imprégnées d'un dangereux poison. Personne ne connaissait le moyen de contrer ce terrible venin, qui se répendait dans les veines d'un être humain à une vitesse phénoménale. Tout s'enchaînait très vite ensuite. Au final, la personne mourrait dans d'atroces souffrances après trois jours, et ce sans une seule seconde de répit. D'ailleurs, une fiole contenant ce dangereux liquide trônait sur une étagère dans un coin de la pièce. Assis devant un bureau de taille moyenne, s'éclairant au moyen d'une simple bougie afin d'avoir une vision quasi parfaite de ce qu'il faisait, Sasori s'était à présent attaqué à l'articulation de la poupée. Au fil des secondes, tout fut remis à neuf. La longue fissure qui avait écaillé le bois fut réparée, et Sasori commença à bidouiller une nouvelle marionnette.* Elles avaient vraiment besoin que je les répare ... * | |
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