Loucas se reveil [libre ! ]

Se retournant dans ces couvertures, la fille gigoté doucement. Elle frémissait passer ces doigts sur ces bras nue pour tâté des cicatrices. Elle se retournait dans l'autre sens, prenant dans ces mains son pied droit pour le caressait doucement.

Puis comme un animal elle se redressa. Ces cheveux blanc devant les yeux, elle scruta l'ombre de la pièce où elle était. Personne ... Puis elle posa son pieds sur le carrelage blanc. Froid. Marcha un instant, vers le dos du lit prenant la plaque entre les mains. Caressant le papier du bout des doigts.

Lire.

Elle savait faire sa.

Glissant ces doigts sur les lèvres de médecin, elle déchiffra lentement.

" Nom .... In .... co ... nu... "

Elle savait aussi se que cela voulait dire. Elle savait ....

" Age : Inconnue ..."

Cela aussi il ne savait pas ? mais a quoi pouvait bien servir cette endroit ? Loucas redressa la tête. Passant une main dans ces cheveux blanc comme neige elle regarda autours d'elle.... Ou était elle ? temps de question qui se bousculait dans son esprit. Où était elle ?

" Qui suis-je ... "

Penchant la tête sur le coté Loucas marcha vers un mur. Prenant dans ces doigts le calendrier, elle regarda les date d'affilé une a une.

" Je suis .... "

Sans trouvé. Elle regarda autre par. Marchant dans la chambre, soulevant des choses qui n'avait rien avoir avec son prénom. Son nom...

" Qui suis-je ?! "

Puis, prise d'une folie certaine, Loucas balança la plaque de métal qu'elle avait encore dans les main. La ou était inscris ces analyse et se qui lui avait était donner comme calmant.

Loucas craquait. Encore. Elle ne savait pas se tenir. Mais elle savait se défendre face au médecin.
Elle hurla encore:

" QUI SUIS-JE !!!!!! "

Kiri no Kuni, je voyais finalement l’intérieur…Désolant les habitations de marbre étaient rares et des taudis de bois étaient plus nombreux…J’avais imaginé quelque chose de différent. Enfin bon on ne peut pas tout avoir dans la vie. Leur puissance militaire était l’une des plus grandes, mais niveau économie ils étaient pires qu’un pingouin jouant au dames… [XD] Moi et mes métaphores…Enfin bon, vous devez vous demander comment j’ai pue entrer dans le village sans embuche, étant membre de l’Akatsuki doubler de Nukenin de rang S. Hé ben je vais vous expliquer en un paragraphe.

Ben, j’avais été envoyé par mon chef, dont je en connais toujours pas le nom [>.>] Je devais capturer une jeune fille a l’hôpital, disons plutôt ‘’Kidnapper’’. Je ne savais pas pourquoi elle en particulier, mais cela ne me dérangeais pas. Après avoir observé le village pendant une demi-journée je vis qu’il y avait un homme qui passait son temps à faire des allés venu entre le village et la rivière. Il avait un chariot et apportait de l’eau à une taverne. Comment je le savais ? Le signe de la taverne était sur le chariot [-_-‘]. J’avais immobilisé l’homme avec mes insectes, et je l’avais forcé à me révéler son identité et certaines choses pouvant m’aider. Après cela…Je dus le tuer, pour éviter d’être piéger, c’était triste mais une précaution. Comme auparavant mes insectes décomposèrent son corps, et j’avais jeté le corps dans la rivière. J’avais pris sa forme avant de le tuer, et maintenant j’étais dans le village me dirigeant vers l’endroit ou cette personne n’attendait que moi pour disparaitre.

Lorsque j’entrais je fus interpellé par la réceptionniste qui semblait me connaitre. Je lui répondais poliment pour ne pas élever les soupçons, et je dirigeais vers le deuxième étage du bâtiment. Arriver la je comptais les portes, enfin les numéros des chambres. Je devais me rendre à la chambre numéro 355. Les chiffres impairs sur ma droite, je ne fis attention au reste. 351…353…355 voila j’y étais. J’ouvris la porte pouvoir une fille confuse. Rapidement je refermais l’ouverture et positionnais mon regard sur elle prononçant les mots suivants.

Je suis désoler de devoir faire sa mademoiselle, mais je n’est d’autre choix…

Mon regard changea de celui d’un jeun homme de 16 ans a celui d’un meurtrier mon chakra fut relâcher pour lui montrer que je ne rigolais pas…Mes dents grincèrent pendant deux secondes…

Suivez moi ou vous mourrez, croyez moi je préférerais la premiere solution…

Je l’avais dit sur un ton remplie de fausse haine et colère, je voulais lui faire peur pour éviter d’utiliser la force. Mais si je devais le faire, je le ferais…

" Sais tu qui je suis ? "

Loucas venait de brisé l'une des chaises sur le sol. Sans doute prise pour une folle plus aucune infirmière ne venait pendant ces crises. Personne ne pouvait lui répondre sur son identité. Et personne ne pouvait lui mentir. Il aurai sans doute dut pourtant ? lui donner un nom au hasard et elle aurai sans doute était calmé un certain temps ?
La fille, du haut de ces année oublié passa son regard sur l'autre homme. Aucune once de peur. mais elle ne bougea pas attendant sûrement la réponse a ces questions.
Mais elle répondit elle même a sa question.

" Bien sur que non. Je sais pas d'ou tu viens, et je m'en fiche. "

Loucas se redressa. Elle passa une main dans ces cheveux replaçant ces mèches blanches, rebelle. Ses yeux bleu azur semblait fendre l'air. A la fois doux et glacé. Elle tourna la tête vers l'extérieur. Prenant quelque chose entre ces main, le balançant vers la fenêtre avec une force insoupçonné pour une femme qui semblait si frêle, si peu musclé! C'est bras ressemblait presque a des allumettes! Elle n'avait pas mangé depuis quand ? Depuis quand n'avait elle pas eut un repas normal? se passant pour une fois de pain dure et d'eau rougeâtre... Sa c'était avant! Avant qu'elle oublie. maintenant, c'était sans doute pire ...

la chaise se brisa sur la vitre qui ne voulait pas cédé. Une vitre un peu spécial. Du pvc sans doute, qui ne se casserais pas au moment de folie de la fille.

" Je suis en boite. Je me nourris de ces grosse chose là. "

Elle montra du doigts un liquide bizarre dans une poche accroché a une tige de métal.

" Mais bizarrement, je sans que c'est mieux que se que j'ai déjà vue. Alors je ne compte pas bougé. "

Voila elle avait donner sa réponse. Son enlèvement se ferrais de façon plus ou moins violente. Même si elle ne tenait pas beaucoup sur ces pieds. Un coup, une technique, un gentjutsu la ferrait tombé. Mais ... Pourtant la femme semblait fiers.

C’était désespérant, franchement, j’avais été tres gentil avec elle, un gentleman, respectueux et regarder commet elle me répond…Non mais les femmes d’aujourd’hui aucun respect…Et voila que je parlais comme el viens Asuka de Konoha alala [>.>]. Enfin si c’est ce quelle voulais je n’avais pas grand-chose d’autre à faire, je la regardais, puis je fermais les yeux...Je ne voulais pas user de la force sur une femme, ce n’etais pas que j’etais sexiste, mais c’est l’une des rares choses que mes parents mon apprit, et je voulais respecter cela…

J’aurais vraiment voulu que cela de passe d’une autre façon mademoiselle…Désoler…

Je soupirais un coup, puis je fermais les poings, les serrant crispant mes mains. Le ‘’Bzz’’ ce fit entendre de nouveau. Je la regardais une dernière fois, elle pouvait voir dans mes yeux que j’étais triste de la forcer, j’en étais vraiment affecter. Mais je devais me ressaisir, je tournais la tête et mon visage redevint sérieux. En quelques secondes, mes insectes étaient sur elles pompant son chakra, ou je voulais lui faire mal physiquement et c’étais la seul solution. Elle finit par s’évanouir, et je retirais les insectes qui revinrent et rentrèrent en moi.

Je m’approchais d’elle, et je la recourais des draps, formant comme cela un sac a patates [>.>]. Je me dirigeais vers la fenêtre briser, elle donnait dans une rue serrer en cacher entre deux bâtiments, qui étaient l’hôpital et une épicerie. Rapidement je fis un bond de la fenêtre, mais un bon tout droit pour le sol. Personne ne semblait m’avoir vue, et cela je l’appréciais [^^]. Je sortis de la rue et personne n’avait l’air d’être surpris. Je mis le sac dans le moyen de transport que j’avais pris et je sortis du village comme j’en étais entré.

Une fois dehors, je ne perdis pas de temps et je mis le feu a la caravane, mais étant prudent je mis des feuilles mouiller pour me laisser le temps de m’éloigner avant que le tout prennent feu. Je pris la direction d’Ame rapidement. Je devais me dépêcher, j’avais toujours la forme voler, et je continuais mon chemin furtivement…